Cyberpunk | Le jeu phénomène de CD Projekt Red vient de franchir une nouvelle étape importante. Avec le déploiement de la mise à jour 2.21, Cyberpunk 2077 s’offre non seulement des améliorations techniques majeures, mais atteint également un score de critiques historique sur Steam. Cet article explore les nouveautés apportées par ce patch et revient sur l’incroyable parcours du jeu depuis son lancement tumultueux.
La mise à jour 2.21 : une révolution technique pour Cyberpunk 2077
CD Projekt Red vient de déployer le patch 2.21 pour Cyberpunk 2077, apportant son lot de nouveautés et d’optimisations. La principale innovation est l’intégration du DLSS 4, la dernière technologie d’upscaling de NVIDIA. Cette fonctionnalité promet des gains de performances impressionnants, notamment pour les possesseurs des nouvelles cartes graphiques GeForce RTX 50 Series.
Selon les développeurs, le DLSS 4 permettrait de générer jusqu’à trois images par image rendue traditionnellement, boostant considérablement les FPS. Des tests réalisés par un YouTuber montrent même des pointes à 280 FPS en qualité maximale avec une RTX 5090, un chiffre qui laisse rêveur. Cependant, d’autres sources tempèrent ces résultats, évoquant des difficultés à atteindre 30 FPS avec le Path Tracing activé sans l’aide du DLSS.
Outre ces améliorations graphiques, le patch apporte également son lot de corrections de bugs et d’optimisations, notamment pour les versions console. Les joueurs Xbox bénéficieront par exemple d’améliorations liées aux SmartFrames, tandis que le mode photo a été retravaillé sur toutes les plateformes.
Un score de critiques historique : la renaissance de Cyberpunk 2077
Au-delà des améliorations techniques, c’est surtout l’accueil du public qui marque un tournant. Cyberpunk 2077 vient d’atteindre la mention « Extrêmement positive » sur Steam pour ses évaluations récentes, avec 95% d’avis positifs sur les 12 698 dernières critiques. Un véritable exploit pour un jeu qui avait connu un lancement pour le moins chaotique il y a plus de trois ans.
Ce retournement de situation spectaculaire témoigne des efforts constants de CD Projekt Red pour améliorer l’expérience de jeu. Quatre ans après sa sortie initiale, Cyberpunk 2077 s’est métamorphosé pour devenir le jeu que les fans espéraient. Les mises à jour successives, dont la récente 2.0, ont profondément remanié de nombreux aspects du gameplay, du système de police à l’arbre de compétences.
L’avenir radieux de Night City
Alors que CD Projekt Red a officiellement annoncé la fin du support pour Cyberpunk 2077, le retour fracassant du jeu laisse présager un avenir encore radieux. Les développeurs n’ont pas pu s’empêcher d’ajouter de nouvelles fonctionnalités avec le patch 2.2, et il ne serait pas étonnant de voir d’autres mises à jour mineures arriver dans les mois à venir.
L’engouement retrouvé autour du jeu pourrait également influencer le développement de sa suite, le mystérieux projet « Orion ». Les leçons tirées de cette expérience unique dans l’industrie du jeu vidéo seront sans doute précieuses pour façonner l’avenir de la franchise.
Un exemple de résilience dans l’industrie du jeu vidéo
Le parcours de Cyberpunk 2077 restera comme un cas d’école dans l’histoire du jeu vidéo. D’un lancement catastrophique à un succès critique, le jeu de CD Projekt Red démontre qu’avec de la persévérance et une vraie volonté d’écoute des joueurs, il est possible de renverser la vapeur.
Cette réussite tardive pose également des questions sur les pratiques de l’industrie, notamment concernant les sorties précipitées de jeux non finalisés. Le cas Cyberpunk 2077 pourrait inciter d’autres studios à prendre le temps nécessaire pour peaufiner leurs titres avant leur commercialisation.
Alors que le jeu s’apprête à entrer dans sa quatrième année d’existence, l’arrivée du DLSS 4 et les performances impressionnantes sur les nouvelles cartes graphiques laissent penser que l’aventure Cyberpunk 2077 est loin d’être terminée. Les joueurs peuvent s’attendre à explorer Night City sous un nouveau jour, plus beau et plus fluide que jamais.
